A Perfect Circle - Eat The Elephant
Sorti le: 14/05/2018
Par Ancestor
Label: BMG
Site: https://www.aperfectcircle.com/
A priori, il s’agit d’une musique d’une relative simplicité, ce qui par surcroît ne l’empêche pas d’être judicieusement sophistiquée. Une chose frappante dès l’abord, c’est la beauté feutrée du chant, sa justesse, son éloquence irrésistible. Il en ruisselle un pouvoir d’envoûtement presque palpable (quasi similaire à celui d’un Tim Bowness durant le titre éponyme…). De même, il existe entre les instruments et la voix une symbiose mélancolique et sereine qui transperce et transporte les neurones. Le piano, si ce n’est un de ses clones électroniques, donne souvent le ton, homologue la douceur, tandis que guitares et batterie déroutent le propos vers quelque chose de plus moderne et tumultueux. La basse ronronne ou gronde ; opulent métronome, elle cadence et met en valeur les atmosphères.
Sans parti pris, ni référence au passé et à l’histoire du groupe, ce disque séduit par sa musicalité, magnétise grâce à ses mélodies. Composé avec recherche, paré d’une âme et d’une façade expérimentale, il flirte aussi avec le progressif sans avoir l’air d’y mettre la main… Un album à savourer sans retenue !
A Perfect Circle est un groupe formé en 1999 par le brillant guitariste multi-instrumentiste Billy Howerdel et le très talentueux chanteur de Tool, Maynard James Keenan. Eat The Elephant, si l’on exclut Emotive entièrement constitué de reprises, est leur troisième disque, isolé de son aîné par rien de moins que quinze années… La première partie de cette discographie discontinue doit son origine à un metal alternatif maniaque et lunaire. De nos jours, le concept s’apparente plutôt à un art rock prodigue teinté de romantisme.
A priori, il s’agit d’une musique d’une relative simplicité, ce qui par surcroît ne l’empêche pas d’être judicieusement sophistiquée. Une chose frappante dès l’abord, c’est la beauté feutrée du chant, sa justesse, son éloquence irrésistible. Il en ruisselle un pouvoir d’envoûtement presque palpable (quasi similaire à celui d’un Tim Bowness durant le titre éponyme…). De même, il existe entre les instruments et la voix une symbiose mélancolique et sereine qui transperce et transporte les neurones. Le piano, si ce n’est un de ses clones électroniques, donne souvent le ton, homologue la douceur, tandis que guitares et batterie déroutent le propos vers quelque chose de plus moderne et tumultueux. La basse ronronne ou gronde ; opulent métronome, elle cadence et met en valeur les atmosphères.
Sans parti pris, ni référence au passé et à l’histoire du groupe, ce disque séduit par sa musicalité, magnétise grâce à ses mélodies. Composé avec recherche, paré d’une âme et d’une façade expérimentale, il flirte aussi avec le progressif sans avoir l’air d’y mettre la main… Un album à savourer sans retenue !
A Perfect Circle est un groupe formé en 1999 par le brillant guitariste multi-instrumentiste Billy Howerdel et le très talentueux chanteur de Tool, Maynard James Keenan. Eat The Elephant, si l’on exclut Emotive entièrement constitué de reprises, est leur troisième disque, isolé de son aîné par rien de moins que quinze années… La première partie de cette discographie discontinue doit son origine à un metal alternatif maniaque et lunaire. De nos jours, le concept s’apparente plutôt à un art rock prodigue teinté de romantisme.
A priori, il s’agit d’une musique d’une relative simplicité, ce qui par surcroît ne l’empêche pas d’être judicieusement sophistiquée. Une chose frappante dès l’abord, c’est la beauté feutrée du chant, sa justesse, son éloquence irrésistible. Il en ruisselle un pouvoir d’envoûtement presque palpable (quasi similaire à celui d’un Tim Bowness durant le titre éponyme…). De même, il existe entre les instruments et la voix une symbiose mélancolique et sereine qui transperce et transporte les neurones. Le piano, si ce n’est un de ses clones électroniques, donne souvent le ton, homologue la douceur, tandis que guitares et batterie déroutent le propos vers quelque chose de plus moderne et tumultueux. La basse ronronne ou gronde ; opulent métronome, elle cadence et met en valeur les atmosphères.
Sans parti pris, ni référence au passé et à l’histoire du groupe, ce disque séduit par sa musicalité, magnétise grâce à ses mélodies. Composé avec recherche, paré d’une âme et d’une façade expérimentale, il flirte aussi avec le progressif sans avoir l’air d’y mettre la main… Un album à savourer sans retenue !