M'Z - Prisme

Sorti le: 26/03/2018

Par Malcolm

Label: Matziz Records

Site: https://torresp2b.wixsite.com/matziz-compositeur

 

M’Z est bavard, c’est peut-être son plus vilain défaut. Au-delà d’une qualité indéniable dans les compositions et les arrangements, on peut regretter qu’il laisse parfois peu de place au silence, à la respiration, ce qui serait pourtant salutaire pour maintenir l’attention de l’auditeur, alors qu’il évolue déjà dans un style que d’aucuns qualifieraient d’aride. Restent les amateurs avertis qui, tout comme les amoureux de guitare instrumentale, trouveront rapidement leurs marques dans cette production qui augure de bonnes choses pour l’avenir.

Du point de vue technique, Prisme se situe plutôt en haut du panier des autoproductions. Les émulations d’amplis de guitare ont tendance à s’entendre derrière ce travail vraisemblablement réalisé en home-studio, ce qui n’ôte rien au savoir-faire déployé dans ce mixage efficace et lisible. Passons sur les batteries programmées, au son bien conventionnel, pour insister sur les sons et rythmes inspirés de l’électro, qui apportent une plus-value significative à l’ensemble. On flirte parfois avec la citation de King Crimson, époque The Power to Believe, mais en allant heureusement dans quelque chose de plus personnel.

 

M’Z est bavard, c’est peut-être son plus vilain défaut. Au-delà d’une qualité indéniable dans les compositions et les arrangements, on peut regretter qu’il laisse parfois peu de place au silence, à la respiration, ce qui serait pourtant salutaire pour maintenir l’attention de l’auditeur, alors qu’il évolue déjà dans un style que d’aucuns qualifieraient d’aride. Restent les amateurs avertis qui, tout comme les amoureux de guitare instrumentale, trouveront rapidement leurs marques dans cette production qui augure de bonnes choses pour l’avenir.

 

Du point de vue technique, Prisme se situe plutôt en haut du panier des autoproductions. Les émulations d’amplis de guitare ont tendance à s’entendre derrière ce travail vraisemblablement réalisé en home-studio, ce qui n’ôte rien au savoir-faire déployé dans ce mixage efficace et lisible. Passons sur les batteries programmées, au son bien conventionnel, pour insister sur les sons et rythmes inspirés de l’électro, qui apportent une plus-value significative à l’ensemble. On flirte parfois avec la citation de King Crimson, époque The Power to Believe, mais en allant heureusement dans quelque chose de plus personnel.

 

M’Z est bavard, c’est peut-être son plus vilain défaut. Au-delà d’une qualité indéniable dans les compositions et les arrangements, on peut regretter qu’il laisse parfois peu de place au silence, à la respiration, ce qui serait pourtant salutaire pour maintenir l’attention de l’auditeur, alors qu’il évolue déjà dans un style que d’aucuns qualifieraient d’aride. Restent les amateurs avertis qui, tout comme les amoureux de guitare instrumentale, trouveront rapidement leurs marques dans cette production qui augure de bonnes choses pour l’avenir.

Ouvrons toutefois nos oreilles à ce premier essai, et nos yeux aussi, puisqu’en dix morceaux, M’Z se donne avec Prisme l’objectif d’explorer les liens entre les sons et les couleurs (pour ceux dans le fond qui ne suivent pas, voilà pour l’explication de la pochette). Au delà de l’étiquette « progressif », on peut aussi parler de fusion, de par le soin apporté à travailler des ambiances variées et évolutives.

 

Du point de vue technique, Prisme se situe plutôt en haut du panier des autoproductions. Les émulations d’amplis de guitare ont tendance à s’entendre derrière ce travail vraisemblablement réalisé en home-studio, ce qui n’ôte rien au savoir-faire déployé dans ce mixage efficace et lisible. Passons sur les batteries programmées, au son bien conventionnel, pour insister sur les sons et rythmes inspirés de l’électro, qui apportent une plus-value significative à l’ensemble. On flirte parfois avec la citation de King Crimson, époque The Power to Believe, mais en allant heureusement dans quelque chose de plus personnel.

 

M’Z est bavard, c’est peut-être son plus vilain défaut. Au-delà d’une qualité indéniable dans les compositions et les arrangements, on peut regretter qu’il laisse parfois peu de place au silence, à la respiration, ce qui serait pourtant salutaire pour maintenir l’attention de l’auditeur, alors qu’il évolue déjà dans un style que d’aucuns qualifieraient d’aride. Restent les amateurs avertis qui, tout comme les amoureux de guitare instrumentale, trouveront rapidement leurs marques dans cette production qui augure de bonnes choses pour l’avenir.

 

Ouvrons toutefois nos oreilles à ce premier essai, et nos yeux aussi, puisqu’en dix morceaux, M’Z se donne avec Prisme l’objectif d’explorer les liens entre les sons et les couleurs (pour ceux dans le fond qui ne suivent pas, voilà pour l’explication de la pochette). Au delà de l’étiquette « progressif », on peut aussi parler de fusion, de par le soin apporté à travailler des ambiances variées et évolutives.

 

Du point de vue technique, Prisme se situe plutôt en haut du panier des autoproductions. Les émulations d’amplis de guitare ont tendance à s’entendre derrière ce travail vraisemblablement réalisé en home-studio, ce qui n’ôte rien au savoir-faire déployé dans ce mixage efficace et lisible. Passons sur les batteries programmées, au son bien conventionnel, pour insister sur les sons et rythmes inspirés de l’électro, qui apportent une plus-value significative à l’ensemble. On flirte parfois avec la citation de King Crimson, époque The Power to Believe, mais en allant heureusement dans quelque chose de plus personnel.

 

M’Z est bavard, c’est peut-être son plus vilain défaut. Au-delà d’une qualité indéniable dans les compositions et les arrangements, on peut regretter qu’il laisse parfois peu de place au silence, à la respiration, ce qui serait pourtant salutaire pour maintenir l’attention de l’auditeur, alors qu’il évolue déjà dans un style que d’aucuns qualifieraient d’aride. Restent les amateurs avertis qui, tout comme les amoureux de guitare instrumentale, trouveront rapidement leurs marques dans cette production qui augure de bonnes choses pour l’avenir.

M’Z : derrière ce patronyme intriguant, se cache un projet solo du guitariste toulousain Mathieu Torres, qui livre ici un premier album multiforme.
Instrumental progressif, dites-vous ? L’amateur averti connaît bien les écueils que renferme ce parti-pris. Beaucoup d’appelés, peu d’élus : la tentation est grande pour les artistes de signer des compositions-fleuves dont les successions de solos flamboyants n’intéresseront finalement pas grand monde. Même les plus grands s’y sont parfois faits prendre…

 

Ouvrons toutefois nos oreilles à ce premier essai, et nos yeux aussi, puisqu’en dix morceaux, M’Z se donne avec Prisme l’objectif d’explorer les liens entre les sons et les couleurs (pour ceux dans le fond qui ne suivent pas, voilà pour l’explication de la pochette). Au delà de l’étiquette « progressif », on peut aussi parler de fusion, de par le soin apporté à travailler des ambiances variées et évolutives.

 

Du point de vue technique, Prisme se situe plutôt en haut du panier des autoproductions. Les émulations d’amplis de guitare ont tendance à s’entendre derrière ce travail vraisemblablement réalisé en home-studio, ce qui n’ôte rien au savoir-faire déployé dans ce mixage efficace et lisible. Passons sur les batteries programmées, au son bien conventionnel, pour insister sur les sons et rythmes inspirés de l’électro, qui apportent une plus-value significative à l’ensemble. On flirte parfois avec la citation de King Crimson, époque The Power to Believe, mais en allant heureusement dans quelque chose de plus personnel.

 

M’Z est bavard, c’est peut-être son plus vilain défaut. Au-delà d’une qualité indéniable dans les compositions et les arrangements, on peut regretter qu’il laisse parfois peu de place au silence, à la respiration, ce qui serait pourtant salutaire pour maintenir l’attention de l’auditeur, alors qu’il évolue déjà dans un style que d’aucuns qualifieraient d’aride. Restent les amateurs avertis qui, tout comme les amoureux de guitare instrumentale, trouveront rapidement leurs marques dans cette production qui augure de bonnes choses pour l’avenir.

M’Z : derrière ce patronyme intriguant, se cache un projet solo du guitariste toulousain Mathieu Torres, qui livre ici un premier album multiforme.
Instrumental progressif, dites-vous ? L’amateur averti connaît bien les écueils que renferme ce parti-pris. Beaucoup d’appelés, peu d’élus : la tentation est grande pour les artistes de signer des compositions-fleuves dont les successions de solos flamboyants n’intéresseront finalement pas grand monde. Même les plus grands s’y sont parfois faits prendre…

 

Ouvrons toutefois nos oreilles à ce premier essai, et nos yeux aussi, puisqu’en dix morceaux, M’Z se donne avec Prisme l’objectif d’explorer les liens entre les sons et les couleurs (pour ceux dans le fond qui ne suivent pas, voilà pour l’explication de la pochette). Au delà de l’étiquette « progressif », on peut aussi parler de fusion, de par le soin apporté à travailler des ambiances variées et évolutives.

 

Du point de vue technique, Prisme se situe plutôt en haut du panier des autoproductions. Les émulations d’amplis de guitare ont tendance à s’entendre derrière ce travail vraisemblablement réalisé en home-studio, ce qui n’ôte rien au savoir-faire déployé dans ce mixage efficace et lisible. Passons sur les batteries programmées, au son bien conventionnel, pour insister sur les sons et rythmes inspirés de l’électro, qui apportent une plus-value significative à l’ensemble. On flirte parfois avec la citation de King Crimson, époque The Power to Believe, mais en allant heureusement dans quelque chose de plus personnel.

 

M’Z est bavard, c’est peut-être son plus vilain défaut. Au-delà d’une qualité indéniable dans les compositions et les arrangements, on peut regretter qu’il laisse parfois peu de place au silence, à la respiration, ce qui serait pourtant salutaire pour maintenir l’attention de l’auditeur, alors qu’il évolue déjà dans un style que d’aucuns qualifieraient d’aride. Restent les amateurs avertis qui, tout comme les amoureux de guitare instrumentale, trouveront rapidement leurs marques dans cette production qui augure de bonnes choses pour l’avenir.