Sonar - Black Light
Sorti le: 05/01/2016
Par Aleksandr Lézy
Label: Cuneiform Records
Site: http://www.sonar-band.ch/
Sonar crée un jeu de rebonds entre les instruments en permanence, et l’idée de la dissociation des guitares de chaque côté du spectre permet une spatialisation étonnante voire fascinante. Sans parler du mastering final réalisé par John Cuniberti, au mixage, le célèbre et talentueux Canadien David Bottrill n’est sûrement pas étranger à ce brillant résultat. Ce collaborateur de Peter Gabriel, King Crimson, Tool, Muse, dEUS, Silverchair ou encore Dream Theater et Between the Buried and Me réalise ici un travail magistral, propulsant Black Light dans une autre dimension.
Distribué par Orkhêstra.
Basé sur le jeu de questions réponses entre les deux guitaristes (leurs sons clairs seuls à être utilisés sont somptueux) et une mise en abîme poussée des éléments rythmiques basse-batterie faussement simples, la musique de Sonar est un travail d’avant-garde minimaliste rock moderne surprenant. C’est étrange car il y a peu et beaucoup à écouter à la fois. Tout est sereinement amené, sans aucune précipitation. Patience et mise en haleine vont de pair pour des actions millimétrées.
Sonar crée un jeu de rebonds entre les instruments en permanence, et l’idée de la dissociation des guitares de chaque côté du spectre permet une spatialisation étonnante voire fascinante. Sans parler du mastering final réalisé par John Cuniberti, au mixage, le célèbre et talentueux Canadien David Bottrill n’est sûrement pas étranger à ce brillant résultat. Ce collaborateur de Peter Gabriel, King Crimson, Tool, Muse, dEUS, Silverchair ou encore Dream Theater et Between the Buried and Me réalise ici un travail magistral, propulsant Black Light dans une autre dimension.
Distribué par Orkhêstra.
Propager le son pour un groupe, c’est comme propager la bonne parole pour un évangéliste : sans cela, il ne se passe pas grand-chose. Lorsque l’on décide de se dénommer Sonar, c’est que l’on a conscience de cette portée, et celle-ci est grande. Venant de Suisse et signé aux Etats-Unis, la formation développe une musique extrêmement sérieuse et complexe avec quelques particularités fort intéressantes. Black Light, troisième album des Helvètes, répond à des critères précis et dispense une série de timbres et de résonnances des plus harmonieuses.
Après Static Motion déjà saisissant, sorti à peine un an auparavant et enregistré en Norvège, Sonar trace son sillon. Le groupe qui n’enregistre qu’en prises directes a préféré revenir à la maison en Suisse pour ce nouvel album, comme il l’avait finalement toujours fait auparavant. Leur qualité est telle que c’en est ahurissant. Sonar s’exprime dans un langage très pur et éthéré, et à la fois très complexe.
Basé sur le jeu de questions réponses entre les deux guitaristes (leurs sons clairs seuls à être utilisés sont somptueux) et une mise en abîme poussée des éléments rythmiques basse-batterie faussement simples, la musique de Sonar est un travail d’avant-garde minimaliste rock moderne surprenant. C’est étrange car il y a peu et beaucoup à écouter à la fois. Tout est sereinement amené, sans aucune précipitation. Patience et mise en haleine vont de pair pour des actions millimétrées.
Sonar crée un jeu de rebonds entre les instruments en permanence, et l’idée de la dissociation des guitares de chaque côté du spectre permet une spatialisation étonnante voire fascinante. Sans parler du mastering final réalisé par John Cuniberti, au mixage, le célèbre et talentueux Canadien David Bottrill n’est sûrement pas étranger à ce brillant résultat. Ce collaborateur de Peter Gabriel, King Crimson, Tool, Muse, dEUS, Silverchair ou encore Dream Theater et Between the Buried and Me réalise ici un travail magistral, propulsant Black Light dans une autre dimension.
Distribué par Orkhêstra.
Propager le son pour un groupe, c’est comme propager la bonne parole pour un évangéliste : sans cela, il ne se passe pas grand-chose. Lorsque l’on décide de se dénommer Sonar, c’est que l’on a conscience de cette portée, et celle-ci est grande. Venant de Suisse et signé aux Etats-Unis, la formation développe une musique extrêmement sérieuse et complexe avec quelques particularités fort intéressantes. Black Light, troisième album des Helvètes, répond à des critères précis et dispense une série de timbres et de résonnances des plus harmonieuses.
Après Static Motion déjà saisissant, sorti à peine un an auparavant et enregistré en Norvège, Sonar trace son sillon. Le groupe qui n’enregistre qu’en prises directes a préféré revenir à la maison en Suisse pour ce nouvel album, comme il l’avait finalement toujours fait auparavant. Leur qualité est telle que c’en est ahurissant. Sonar s’exprime dans un langage très pur et éthéré, et à la fois très complexe.
Basé sur le jeu de questions réponses entre les deux guitaristes (leurs sons clairs seuls à être utilisés sont somptueux) et une mise en abîme poussée des éléments rythmiques basse-batterie faussement simples, la musique de Sonar est un travail d’avant-garde minimaliste rock moderne surprenant. C’est étrange car il y a peu et beaucoup à écouter à la fois. Tout est sereinement amené, sans aucune précipitation. Patience et mise en haleine vont de pair pour des actions millimétrées.
Sonar crée un jeu de rebonds entre les instruments en permanence, et l’idée de la dissociation des guitares de chaque côté du spectre permet une spatialisation étonnante voire fascinante. Sans parler du mastering final réalisé par John Cuniberti, au mixage, le célèbre et talentueux Canadien David Bottrill n’est sûrement pas étranger à ce brillant résultat. Ce collaborateur de Peter Gabriel, King Crimson, Tool, Muse, dEUS, Silverchair ou encore Dream Theater et Between the Buried and Me réalise ici un travail magistral, propulsant Black Light dans une autre dimension.
Distribué par Orkhêstra.